Mosquito FB Mk VI 1/48 - Défi Chicken Con

Le résultat est vraiment réaliste, bravo et bonne suite dans ce projet.

SEMAINES 74-75 - Trappes d'accès aux mitrailleuses

J'ai retrouvé les portes des trappes d'accès aux mitrailleuses que j'avais détachées des demi-fuselages lors de la semaine 41. J'ai commencé par leur graver la bordure de la protection de métal (A). J'ai continué avec les plaques de fixation externes du verrouillage des portes en position fermée (B) ainsi que d'autres pièces de métal dont je n'ai malheureusement pas la fonction (C). Avec une aiguille, j'ai fait des séries de rivets pour fixer fermement les bordures de métal et les plaques de fixation. Je me suis ensuite lancé dans la peinture. La partie qui sera en bois a été peinte en blanc pour la préparer pour les décalques alors que les éléments de métal ont été peints avec de l'Aclad aluminium. Cette fois, le fini est très bien et j'espère ne pas le briser avec la pose des décalques. J'ai porté attention à ne pas mettre de peinture là où la bavette de blindage sera collée (D) pour assurer une bonne adhérence.



J'ai surtout pris mon temps pour ne pas avoir à recommencer. Le résultat est satisfaisant pour le moment.

Jean-Guy P.

SEMAINE 76 - Trappes d'accès aux mitrailleuses (fin)

Au cours de la semaine, j'ai tout simplement terminé le travail sur les trappes d'accès aux mitrailleuses en posant les décalques et en les protégeant avec une couche de vernis satin. Je les ai mises en place, sans les coller, juste pour voir l'effet (photo). Le résultat me satisfait pleinement cette fois.



J'ai aussi commencé à travailler à divers panneaux situés juste derrière la verrière en creusant des ouvertures. J'en reparlerai prochainement.

Jean-Guy P.

SEMAINE 77 - Panneau du radeau de sauvetage

J'ai continué ma série de panneaux et trappes d'accès avec le panneau du radeau de sauvetage. Ce panneau était situé sur le dessus du fuselage, juste derrière la verrière. Apparemment, les radeaux de sauvetage ont été fort peu utilisés car, ceux qui ont réussi à poser leur Mosquito sur la mer sans être trop esquintés et, par la suite, à sortir par le dessus de la verrière, ont été rares. De toute façon, mieux vaut une toute petite chance de s'en sortir que pas de chance du tout. D'après une photo d'époque prise devant un atelier de fabrication, l'ouverture pour le panneau y était déjà percée. J'ai donc supposé que le panneau était fait d'une seule pièce à l'usine. Ainsi, j'ai découpé et collé les 2 moitiés de panneau et j'ai fait de beaux coins ronds (A). Pour tenir compte de la largeur des traits de scie, j'ai ajouté de la carte plastique tout le tour de l'ouverture créée et, là aussi, j'ai posé des coins ronds (B). J'ai été naïf et je me suis fié aux lignes en relief d'Airfix comme guides pour découper l'ouverture. Au lieu d'avoir un trou de forme rectangulaire comme résultat, je me suis retrouvé avec un parallélogramme. J'ai été obligé de corriger la forme et de me montrer particulièrement généreux avec la carte (C) pour obtenir une ouverture de la bonne dimension. En corollaire, il a évidemment été nécessaire de travailler un peu le panneau.



En complément, j'ai percé un gros trou rond pour un panneau qui recouvrait l'ouverture prévue pour l'antenne (D). La version du Mosquito que je fais avait une antenne intérieure, mais l'ouverture était faite en atelier et il fallait bien la boucher quand on n'installait pas d'antenne extérieure. J'ai aussi percé 2 trous plus petits dont je ne connais pas le rôle (E). Voilà pour la semaine.

Jean-Guy P.

Le projet se poursuit, bravo et merci pour ce partage.

SEMAINE 78 - Panneau du radeau de sauvetage (suite)

J'ai poursuivi avec le panneau du radeau de sauvetage. Je lui ai gravé un beau tour en métal (A) auquel j'ai ajouté des rivets faits à l'aiguille (B) pour être sûr qu'il tienne bien en place. Je lui ai ajouté un petit panneau (C), c'est-à-dire un panneau dans le panneau. Je ne suis pas sûr de son utilité, mais si j'avais à prendre une chance, je dirais qu'il a à voir avec un moyen d'ouvrir le gros panneau. Pour finir la semaine, j'ai posé de l'apprêt et de la peinture blanche lustrée pour la portion en bois. Tant qu'à être dans les panneaux, j'ai fabriqué un panneau pour l'ouverture prévue pour l'antenne extérieure avec de la carte plastique patiemment sablée pour lui donner une forme ronde de la bonne dimension (D). Là aussi, j'ai percé des rivets (ou des vis) sur le pourtour.



Soixante-dix-huit semaines, ça fait un an et demi. Ça fait réfléchir.

Jean-Guy P.

SEMAINE 78 - Panneau du radeau de sauvetage (fin)

Je n'ai pas grand chose d'original à écrire à part du déjà vu avec d'autres panneaux. Le tour en métal et le panneau dans le panneau ont été peints en Aclad aluminium, après avoir reçu une couche d'apprêt gris, alors que la partie en bois a été recouverte avec du décalque avant de recevoir une couche de vernis satin. C'était la suite normale des choses. Ça a été bien réussi et j'en suis content.



La prochaine semaine pourrait être une petite semaine de modélisme. Mes deux plus vieux petits-fils (5 et 7 ans) viennent passer 2 jours à la maison à l'occasion de la semaine de relâche. Comme je ne les ai presque pas vus au cours des 2 dernières années, je compte bien en profiter au maximum.

Jean-Guy P.

SEMAINE 79 - Portes de la soute à bombes (partie 1)

Comme prévu, ce fut une petite semaine pour le modélisme. J'ai tout de même fait des premiers travaux sur les portes de la soute à bombes. À l'origine, le Mosquito était prévu pour être un bombardier rapide, sans armement, qui devait sa survie à une vitesse supérieure à celle des chasseurs ennemis. Une grande soute à bombes était prévue au centre de son fuselage. L'avion s'est toutefois montré très versatile et a été adapté en différentes versions. La version chasseur-bombardier est celle qui est représentée avec ma maquette. Dans cette version, la moitié avant de la soute à bombes abritait 4 mitrailleuses alors que la partie arrière avait gardé son rôle de transport de bombes. Airfix a conçu une pièce qui comprend les 2 portes de la partie avant de la soute ainsi que la plaque de protection à la sortie des canons des mitrailleuses (photo). Les détails dont je me suis occupé au cours de la semaine sont la jonction entre les portes et la plaque de protection (A); les bordures du tour en métal de chaque porte (B), même si, étrangement, ces bordures ne font que 2 côtés de chaque porte; les plaques de renforcement de ce qui semble être le système de verrouillage des portes (C); les trous d'éjection des douilles et des gaz (D) et la jonction entre les 2 portes (E).



La première chose que j'ai faite est de séparer les portes de la partie protectrice. J'ai ensuite partiellement scié la jonction entre les 2 portes. C'est une mesure temporaire qui me permet un travail plus facile pour le moment. J'ai grossièrement évidé les trous d'éjection des douilles et des gaz, puis j'ai sablé les bordures des tours en métal et les plaques de renforcement tout en m'occupant des petits défauts de surface.

Voilà pour cette première semaine avec les portes de la soute à bombes.

Jean-Guy P.

Le projet avance bien, bravo du beau travail.

SEMAINE 80 - Portes de la soute à bombes (partie 2)

Je pensais que de m'occuper des trous d'éjection des douilles et des gaz serait une petite affaire. Ce fut finalement plus long que prévu. J'ai complété le creusage des trous avec la pointe d'une lame d'X-Acto. C'est dur pour les doigts et il m'a fallu étirer sur plusieurs jours. En fait, il y avait 2 types d'ouvertures: des ouvertures allongées pour évacuer les douilles (A) et des ouvertures plus carrées pour évacuer les gaz (B). J'imagine qu'on les joignait pour limiter le nombre de trous dans les portes. En ce qui concerne les ouvertures pour l'évacuation des douilles, il ne s'agissait pas seulement de simples trous, mais de sorties pour des tubes de section rectangulaires. Dans mes photos de référence, les côtés des tubes qui séparent les 2 types d'ouverture sont nettement visibles. J'ai donc ajouté de la carte 0,12 mm pour ces côtés (C). Cet ajout m'a valu d'autres séances de creusage pour ajuster les dimension des ouvertures. J'en suis finalement arrivé à quelque chose d'assez bien qui est une nette amélioration par rapport à l'original.



Petit peu par petit peu. Je vais y arriver.

Jean-Guy P.

SEMAINES 81-82-83 - Portes de la soute à bombes (partie 3)

Je ne vais pas raconter toutes les bonnes raisons qui ont ralenti l'avancement des travaux sur les satanées portes avant de la soute à bombes. Ce qui importe, c'est ce qui a finalement pu être réalisé. En bref, en plus de séparer les 2 portes, j'ai gravé les contours de beaux renforts de métal, qui bordaient les portes ainsi que les ouvertures pour les gaz et les douilles, j'ai percé à l'aiguille de belles rangées de rivets sur tous ces renforts et j'ai peint le tout aluminium (A). Toujours en aluminium, j'ai utilisé de la carte pour fabriquer des remplaçants pour les plaques de renforcement du système de verrouillage (B). Le reste des portes a reçu le traitement habituel pour le bois. En supplément, il y avait, dans les transferts humides, pour chaque porte, une inscription dans un cadre hachuré que j'ai posée (C).



Le résultat est satisfaisant et les portes sont incroyablement différentes des portes originales du kit. Malgré cela, je pense que je vais prendre une pose de la fabrication de panneaux pour un petit bout de temps.

Jean-Guy P.

Le résultat est superbe, bravo et bonne suite.

SEMAINES 84-85 - Puits et train arrières (partie 1)

Pour me changer les idées, j'ai décidé de m'attaquer au puits et au train arrières du Mosquito. Dans son kit, Airfix nous propose quelque chose de base. Pour le puits, il y a une grande ouverture en forme d'oeuf dont la moitié se retrouve dans chaque moitié de fuselage et c'est tout. Il n'y a pas de paroi avant, pas de plafond, pas de côtés, pas d'arrière. Rien. On a une vue sur l'intérieur de la maquette avec tous les petits détails que l'on ne veut normalement pas voir. Pour le train, c'est pas si mal, même s'il est séparé en 2 moitiés (A). Par contre, le train est fixé à l'intérieur par 3 tiges de positionnement qui s'insèrent dans 3 cylindres de positionnement de chaque côté (B1 à B3). Évidemment, ces tiges et cylindres n'existaient pas dans les vrais Mosquito. Pour pallier aux déficiences de ce train, on se rappellera que mes étrennes de janvier 2021 comprenaient un kit de remplacement de roue arrière en résine d'Ultracast. Ce kit contient un train (X) qui exigera des modifications à la maquette puisqu'il est conçu pour s'ajuster à une maquette Tamiya.



J'ai pensé que le plus simple serait de commencer par installer un plafond au puits. Après quelques mesurages, j'en ai fabriqué un avec de la carte plastique (C). J'y ai inclus une fente pour la patte du train. L'idée est de l'installer aussi haut que possible en autant que le plafond n'interfère pas avec les ouvertures pour insérer les languettes de positionnement du stabilisateur (soit au niveau de la ligne jaune). Mon plan original consistait à installer des supports dans chaque moitié de fuselage pour soutenir l'arrière du plafond (D). L'avant serait soutenu par des cylindres de positionnement (B1) taillés horizontalement à la hauteur désirée. Dans l'aventure, les cylindres encombrants (B2) sont coupés et sablés. Malheureusement, les quatre tentatives que j'ai faites pour faire tenir mon plafond à la partie gauche n'ont pas résisté à la fermeture (sans colle) du fuselage. Le petit bout de cylindre taillé n'offre pas un support assez solide. Je suis donc passé au plan B qui consiste à d'abord installer une paroi avant. J'ai commencé par découper, dans de la carte plastique, une pièce de la forme de la cavité interne à l'endroit où je veux installer la paroi. C'est simple à dire comme cela, mais ça n'a pas marché du premier coup et il a fallu que je me reprenne. Bonjour session supplémentaire de sablage et de limage. Pour l'installation, j'ai d'abord collé des bouts de tige plastique dans les 2 moitiés de fuselage pour servir d'appui à ma paroi (E). Cet appui m'a ensuite servi à coller la pièce de paroi au côté gauche du fuselage (F, visible par la tranche). J'ai terminé mes premières semaines avec ce chantier en collant de la tige plastique sur la paroi pour former un support pour l'avant du plafond (G). Des essais sans colle avec le plafond ont montré qu'il est possible de fermer le fuselage sans problème après quelques ajustements.



À la prochaine.

Jean-Guy P.

SEMAINE 86 - Puits et train arrières (partie 2)

J'ai continué allègrement le «scratchbuilding» du puits du train d'atterrissage arrière. J'ai d'abord collé le plafond à sa position (A) en l'appuyant bien sur les supports que j'avais fabriqués. J'ai ensuite fabriqué et collé en place, grâce à un mélange de mesurage et de gossage, une sorte de fourreau (B) pour pouvoir y glisser la longue patte de positionnement du train en résine d'Ultracast. Je me suis assuré à plusieurs étapes de la construction que la patte glissait en place sans problème tout en étant assez à l'étroit pour ne pas bouger une fois installée. Voilà pour les travaux d'adaptation à une maquette Airfix d'un train conçu pour un kit Tamiya. J'ai ensuite ajouté quelques éléments visibles par l'ouverture (C) dont un probable longeron qui joint les 2 moitiés du stabilisateur. C'est un peu bas, mais c'est à cause de l'obligation de laisser libre les ouvertures pour les languettes du stabilisateur. J'ai installé un plafond plus bas autour de la base du train (D) avec la technique du mesurage couplé au gossage. Il y avait une pièce de métal avec un gros trou d'allègement bien en évidence dans les vrais Mosquito qui était juste derrière le train dont j'ai sculpté une représentation à la lime que j'ai ajoutée (E). Il y avait aussi 4 tiges qui servaient à renforcer ou à replier le train d'atterrissage. J'en ai installé 2 (F); les 2 autres devront attendre que les moitiés de fuselage soient réunies. Finalement, j'ai passé de l'apprêt gris sur l'ensemble des parties visibles en préparation du peinturage final qui sera en vert.



Il y a bien d'autres détails qui auraient pu être ajoutés, mais il faut bien s'arrêter à un moment donné si on veut finir un jour. En parlant de finir, il serait illusoire de penser avoir terminé en septembre, soit après 2 ans. Toutefois, je commence à croire que la fin se trouvera quelque part dans l'année qui suivra.

Jean-Guy P.

Correction sur le rôle des tiges

Après avoir examiné quelques références, les tiges de la photo d'hier (F) n'auraient rien à voir avec le train d'atterrissage arrière. Il s'agirait plutôt de tubes ajustables pour le support et le renforcement du longeron arrière du stabilisateur. Je joins une photo après avoir peint en vert l'intérieur du puits. Les flèches montrent les 2 tubes installés pour le moment.



Désolé.

Jean-Guy P.

Hello,

De retour après quelques mois mais je m'aperçois que ton travail flirte toujours autant avec l'art et la perfection !
Du beau boulot !!!

Stéph

SEMAINES 87 ET 88 - Puits et train arrières (partie 3)

D'abord, merci à Stéphane, toujours aussi aimable dans ses commentaires. J'avais prévu une petite semaine 87 facile avec un peu de peinture. C'était sans compter les problèmes qui ne manquent pas de se manifester avec les parties en résine. Le puits a été peint en vert et la jambe et la roue avec un mélange de peintures dont du Aclad gunmetal pour la jambe et aluminium pour la jante de la roue. De beaux masques ronds ont servi pour la roue. Résultat super. Il ne reste qu'à insérer la roue dans la fourche du train et prendre la photo. C'est là que ça s'est gâté. La fourche possède 2 petites pattes en guise d'essieu qui s'insèrent dans des trous de chaque côté de la roue. Lors du processus, les fameuses petites pattes ont « scratché » la peinture de la roue pas à peu près. Les tentatives de sauvetage n'ont rien donné. De plus, je n'étais pas capable de centrer la roue dans la fourche. J'ai donc décidé de me reprendre différemment lors de la semaine 88. J'ai enlevé la roue et je l'ai décapée au complet. J'ai limé un peu les tiges de la fourche et j'ai installé la roue sans la coller. J'ai alors peinturé au pinceau la roue en la faisant tourner, adieu Aclad et masques, puis j'ai collé. J'ai installé l'ensemble dans le puits, sans le coller, pour voir l'allure (photo). Comme je l'écris souvent, c'est pas parfait mais c'est le mieux que je peux faire. Si j'avais à recommencer, je percerais complètement la roue et la fourche pour pouvoir installer un essieu en métal de part en part. Ce serait solide et je pourrais peinturer à ma guise. Mais j'ai déjà passé trop de temps et je dois aller à une autre étape.



Non, il n'y en n'a pas de facile.

Jean-Guy P.

..Je suis,je suis...Méchant beau travaille a date , malgré tes petites aventure ca vaut le détour.. Go,go,goooo !

SEMAINE 89 - Cockpit gauche (partie 1)

Je reviens loin dans le temps pour continuer le travail sur le cockpit. Je continue avec le côté gauche. Airfix nous propose une paroi avec 2 instruments: le contrôle des moteurs et un bidule pour l'ajustement de la queue (A). Comme le diraient nos amis anglophones, c'est un peu « spartiate ». Dans le coin, on trouve aussi des supports que j'avais posés pour l'installation du plancher (B) ou de la trappe d'accès aux mitrailleuses (C), ainsi qu'une petite languette de positionnement pour le tableau de bord (D).



Dans les vrais Mosquito, ce côté gauche du cockpit avait l'air d'un fouillis plus ou moins organisé d'instruments, fils et indications. Heureusement, le kit de photogravure d'Eduard va venir à ma rescousse. J'ai donc commencé par sabler le devant du contrôle des moteurs et de l'appareil pour l'ajustement de la queue pour pouvoir éventuellement y coller des remplaçants « Eduard ». J'ai limé en diagonale la languette de positionnement du tableau de bord pour qu'elle soit moins visible. J'ai bouché un trait de scie offensant que j'avais fait lors de la coupe de la trappe d'accès aux mitrailleuses (E). J'ai aussi sablé la paroi le mieux possible, ce qui m'a permis, tant qu'à y être, à faire disparaître un rectangle mystérieux qui y était gravé (F). En parallèle, j'ai plié et monté les instruments qu'Eduard propose pour cette partie de la maquette (X). J'ai toujours une confiance pratiquement nulle dans la possibilité de faire tenir ce type de construction en photogravuve avec de la colle placée sur la « tranche ». Pour améliorer la solidité et augmenter sensiblement les surfaces de contact pour le collage, de la carte plastique a été taillée et collée à l'intérieur de chaque instrument d'Eduard en prenant soin que ces ajouts restent invisibles au final. Pour terminer, J'ai passé la portion avant du fuselage gauche à l'apprêt blanc parce que je crains d'avoir de la difficulté à masquer le cockpit une fois terminé.



Voilà pour la semaine.

Jean-Guy P.

.......très intéressant !...je continue a suivre !!!

SEMAINE 90 - Cockpit gauche (partie 2)

Pour commencer, salutations et merci à Jean-Marc pour ses commentaires. Pour débuter cette semaine 90, j'ai fait le ménage de l'apprêt blanc posé sur le fuselage la semaine précédente. C'est surtout s'assurer d'enlever les méchants débordements et bourrelets ainsi que les désagréables petites bosses. En faisant ce travail, je me suis aperçu que j'avais oublié de masquer une belle bande dont la couleur finale sera aluminium. Argh! Bon, j'ai réglé la question tout de suite avec une séance de grattage et de sablage, suivie du reperçage des trous qui simulent des boulons. De retour à l'intérieur du cockpit, j'ai collé une partie de mes assemblages à base de photogravure d'Eduard. Il y a d'abord une espèce de boîte qui devait servir à ranger des papiers, carnets et autres cartes (A). J'ai ensuite installé le support à boussole (B). Avant de passer l'intérieur gauche du cockpit à l'apprêt gris, pour assurer une éventuelle bonne adhésion entre des morceaux de photogravure et le reste de la maquette, j'ai installé de petits morceaux de ruban collant là où ces morceaux se retrouveront. Le tout a été suivi d'une couche de peinture verte. J'ai alors posé un transfert humide qui représente une inscription sur une plaque (C). Avec une loupe, on peut lire quelques mots et lettres, mais le sens général m'échappe. J'ai fini avec une couche de vernis satin.



J'ai testé à sec l'installation de l'intérieur du cockpit sur cette paroi gauche. Pour être franc, il n'y aura pas grand chose à voir, surtout la boîte à papier qui ne sera que partiellement visible du dessus, bien cachée par le siège du pilote.

Jean-Guy

Inscription de la plaque

Après recherche sur le web, j’ai trouvé une photo sur laquelle on peut lire le texte de la plaque (C sur la photo de la semaine 90). Il s’agit des instructions en cas de mauvais fonctionnement du train d’atterrissage (undercarriage emergency). On y décrit comment utiliser la pompe manuelle pour sortir le train.

Jean-Guy

Le déroulement du projet va très bien, de superbes détails et modifications. Encore bravo et nous suivons avec grand intérêt. Bonne suite.

Ca avancer , ca avance !!!

SEMAINE 91 - Cockpit gauche (partie 3)

Cette semaine 91 a été une petite semaine qui m'a permis de travailler les premiers détails du cockpit gauche. J'ai peint et posé 2 plaquettes de photogravure qui représentent des cadres métalliques dans lesquels on pouvait insérer papier, carton ou cahier (A). On peut imaginer qu'ils servaient surtout pour des usages limités dans le temps comme aide-mémoires pour les codes ou  la mission du jour, etc. À partir d'une tige cylindrique de plastique, j'ai fabriqué une représentation d'un bidule qui était parfois installé sous la boussole (B). Je ne sais pas à quoi le truc servait mais je ne crois pas que c'était utile au bon fonctionnement de la boussole. J'ai vu la photo d'une boussole de Mosquito dans sa boîte de transport originale sur un site d'encan et ça n'y était pas. J'ai gossé quelques autres affaires comme le devant du support des manettes des gaz (C). Dans ce cas, j'ai ajouté un disque mince de plastique au moyeu pour donner une troisième dimension à l'assemblage comme sur les photos de mes références.



À la prochaine.

Jean-Guy P.